bois et strates

 
 
 

En 1986, avec «tripodes», «couples», «objectifs/recepts», je taille des masses de bois patatoides, je récolte et greffe des éléments végétaux et confectionne des suites d’objets qui jouent entre eux et avec le spectateur dans les lieux d’expositions. Ces objets «poilus, hérissés», créent des lignes de perspective, des faisceaux de correspondance de complémentarité de matières, de formes, de sens.




En 1986, les «Strates» sont des jeux d’anneaux de cercles au centre de formats carrées sous verre. Du papier craft est attaqué par des superpositions de matières (acides, teintures, matières grasses, encres...) qui créent des strates. Elles sont ensuite mélangées à des dessins d’observations d’objets ronds vue en bout.



En 1988, avec les «hublots» et les «roublots», j’établis des relations entre des éléments de la nature végétaux et animaux (graines, épines, cornes, dents...) et les lois de la perspective conique, en présentant ces pièces de bois à hauteur d’oeil en position de regardeur.